Dans son rapport annuel publié fin avril 2025, Amnesty International tire la sonnette d’alarme sur une crise mondiale des droits humains, exacerbée par le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis. L’organisation dénonce une accélération des tendances autoritaires et une érosion des libertés fondamentales à l’échelle planétaire.
Un recul alarmant des droits fondamentaux
Amnesty souligne que les 100 premiers jours du second mandat de Trump ont intensifié des pratiques déjà préoccupantes : répression des dissidents, attaques contre les minorités, et affaiblissement des institutions internationales. L’organisation pointe notamment des arrestations arbitraires, des disparitions forcées et l’usage excessif de la force dans des pays comme le Bangladesh, le Mozambique et la Turquie.
Un impact mondial préoccupant
Le rapport met en lumière l’influence négative de la politique américaine sur la scène internationale. Les coupes dans l’aide étrangère ont aggravé les crises humanitaires au Yémen et en Syrie, tandis que le retrait des États-Unis de l’accord de Paris sur le climat a sapé les efforts mondiaux pour lutter contre le changement climatique. Amnesty note également une montée des discours haineux et des politiques discriminatoires envers les migrants, les femmes et les personnes LGBTQ+.
Un appel à l’action
Face à cette situation, Amnesty International appelle les gouvernements et les citoyens à défendre les droits humains et à résister aux dérives autoritaires. L’organisation insiste sur la nécessité de renforcer les institutions démocratiques, de protéger les libertés fondamentales et de promouvoir l’égalité et la justice pour tous.
Pour consulter le rapport complet d’Amnesty International, cliquez sur le lien suivant : Crise mondiale des droits humains : l’effet Trump accélère les tendances destructrices.
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