Ce n’est encore qu’un murmure, mais il se fait de plus en plus insistant : Elon Musk pourrait bien quitter son poste de patron de Tesla. Pas demain matin, peut-être. Mais plus personne n’écarte cette hypothèse aujourd’hui. Et franchement, vu le contexte, ça ne surprendrait personne.
Trop de projets, trop d’absences
Ce n’est pas nouveau : Musk est partout. Entre SpaceX, ses lubies sur X (ex-Twitter), les implants Neuralink et ses envolées sur l’IA, Tesla ne semble plus être sa priorité numéro un. Officiellement, il reste aux commandes. Officieusement ? Il brille surtout… par son absence.
Et certains, en interne, commencent à s’en agacer. Des bruits de couloir parlent d’un conseil d’administration agacé. De décisions prises sans concertation. Et surtout d’un patron de moins en moins présent dans les bureaux.
Un successeur ? Pas encore, mais ça discute
Personne ne le dit à haute voix, mais les paris sont ouverts. Deux noms reviennent souvent : Tom Zhu, qui gère tout ce qui roule en Chine, et Drew Baglino, le cerveau tech de la maison. Rien d’annoncé. Rien d’officiel. Mais ça sent la transition planifiée. Tranquillement. En coulisses.
Musk sans Tesla : qui y gagne, qui y perd ?
Certains investisseurs n’attendent que ça. Moins de tweets borderline, plus de focus produit. Musk fatigue une partie de Wall Street avec ses sorties imprévisibles. D’autres, au contraire, flippent à l’idée de perdre le moteur de l’entreprise. Car sans lui, Tesla, c’est quoi ? Une marque comme une autre ?
Le marché est suspendu à un mot, un geste. Et pour le moment, silence radio du côté de Musk. Ce qui, connaissant le bonhomme, est presque plus inquiétant que n’importe quelle annonce.
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